| « (...) La qualité de la prononciation, on la retrouve, dans une moindre mesure compte tenu de la brièveté de leur rôle, chez Jean Teitgen (Abimelech) et Remi Garin (premier philistin). Les chœurs, qui occupent une place prépondérante dans l'œuvre, ne sont eux pas toujours idiomatiques mais leur cohérence sonore fait oublier la difficulté que l'on peut avoir à les comprendre. (...) »
Christophe Rizoud, sur ForumOpera.com
(Samson et Dalila, 2012)
«
PORTRAIT : REMI GARIN
OU LA DECOUVERTE D’UN TENOR
Rencontrer un ténor comme Rémi GARIN est une chance inouïe pour un critique musical,
une chance qui ne se produit pas très souvent, car la découverte d’un véritable ténor est aussi rarissime
que de trouver une cantatrice possédant une très belle voix doublée d’une grande technique,
et qui soit en prime une femme pourvue d’une irrésistible séduction...
C’est une fois de plus grâce à Serge GAYMARD, l’actuel directeur de l’Opéra de REIMS,
que nous avons pu entendre Rémi GARIN dans le Fenton du « FALSTAFF » de Giuseppe VERDI.
Lui et la délicieuse Nanetta de Malinda HASLETT ont constitué dans cet ouvrage un couple presque idéal,
plein de charme, et dont les voix harmonieuses semblaient s’accorder à merveille.
Un ténor comme Rémi GARIN est un oiseau rare, et c’est pourquoi il convient de le conserver
le plus longtemps possible, de ne point le laisser s’envoler vers d’autres cieux...
Il est indispensable qu’il rencontre lui aussi bien vite un agent sérieux, capable de réaliser
la véritable mine d’or que constitue un artiste comme notre ami Rémi GARIN, et qu’il sache
l’imposer dans tous nos théâtres avec conviction.
Il serait impensable qu’il ne fit point la carrière que justifient ses dons vocaux, car une fois encore
j’affirme que ce chanteur possède absolument tout pour réussir, pour réaliser un destin
qui s’accomplira bien vite, et lui offrira toutes les joies qu’il est en droit d’en attendre...
Rémi fait ses études à l’École Nationale de Musique de la ville d’ANNECY (Haute-Savoie)
où il obtient une médaille d’or d’Art lyrique. Il entre ensuite à l’École d’Art Lyrique de
l’Opéra National de PARIS où il travaille de nombreux ouvrages du répertoire classique comme
Vincent de MIREILLE, Rodolphe de LA BOHEME de G. PUCCINI, le Chevalier de la Force de DIALOGUES
DES CARMELITES, etc...
Poursuivant sur sa lancée, il remporte plusieurs concours d’une importance certaine,
et est également le glorieux finaliste du fameux Concours International de Chant de la ville de TOULOUSE,
où il se fait particulièrement remarquer pour la beauté de sa voix, mais aussi pour son style impeccable
et l’éclat d’un timbre que l’on découvre avec étonnement.
Rémi GARIN, avec une rare constance, se forge en l’espace de quelques années un répertoire
qui paraît lui convenir à merveille comme Nemorino de L’ELISIR D’AMORE, Edgardo dans sa version originale
mais également Française de LUCIA DI LAMMERMOOR (une partition interprétée en Allemagne
avec un succès sans précédent), Jacquino du FIDELIO de BEETHOVEN,
ou bien encore le Tamino de LA FLUTE ENCHANTEE de MOZART.
Il chante aussi Des Grieux de la MANON de MASSENET, Gérald de LAKME,
Nadir des PECHEURS DE PERLES, Lenski d’EUGENE ONEGUINE, Elvino de LA SONNAMBULA de BELLINI,
Arvino, Oronte d’I LOMBARDI,
le duc de Mantoue de RIGOLETTO, Don Ramiro de LA CENERENTOLA, Dorvil de LA SCALA DI SETA de ROSSINI...
En tout, pas moins d’une vingtaine de rôles son déjà au répertoire de Rémi GARIN,
des rôles qu’il peut chanter sur n’importe quelle scène d’Europe.
C’est un ténor est intelligent, sérieux, toujours soucieux de respecter chaque style des ouvrages,
qu’ils fussent français, italiens ou mozartiens. Il détient en outre une grande Faculté d’adaptation,
sa voix ressemble à une flûte
d’argent, les aigus sont faciles, péremptoires, scintillent de lumière, son timbre est
extrêmement agréable, et son physique séduisant et romantique est idéal pour tout un
répertoire qu’il a sur faire sien avec un bon sens et une intuition qui forcent toute notre admiration. »
Michel GEORGES (Arioso international, 2008)
« Rémi Garin, une voix extraordinaire » (Récital)
« (...) le ténor Rémi Garin a été admirable »
(La Petite Messe Solennelle, 1996)
« Révélation d'un jeune ténor »
(l'Elisir d'Amore, 2003)
« (...) un ténor qui a exceptionnellement un contre mi bémol. Rémi Garin est ce ténor (...) Autrement dit, cette « Lucia » est un peu surhumaine à chanter » (Lucie de Lammermoor, 1999)
« (...) And Remi Garin was a fine Ismaele (...) » (Nabucco, 2001)
« Auf geht's zur schottischen Bluthochzeit! » (Lucia di Lammermoor, 2005) `,
`Selected reviews (in French):
« (...) La qualité de la prononciation, on la retrouve, dans une moindre mesure compte tenu de la brièveté de leur rôle, chez Jean Teitgen (Abimelech) et Remi Garin (premier philistin). Les chœurs, qui occupent une place prépondérante dans l'œuvre, ne sont eux pas toujours idiomatiques mais leur cohérence sonore fait oublier la difficulté que l'on peut avoir à les comprendre. (...) »
Christophe Rizoud, sur ForumOpera.com
(Samson et Dalila, 2012)
« ... La cerise sur le gâteau fut le Fenton exceptionnel de Rémi GARIN,
un ténor à la voix tout aussi ravissante que celle de Malinda HASLETTE,
détenant un timbre unique, particulièrement flatteur,
avec des aigus lumineux, avec un beau physique romantique.
Certes, cet artiste a déjà interprété des rôles aussi légers comme Vincent
de « MIREILLE » ou encore Jacquino
du « FIDELIO » de BEETHOVEN, mais n’oublions pas
cependant qu’il a obtenu de grands et incontestables succès en Allemagne
dans Edgardo de « LUCIA DI LAMMERMOOR »,
une partition autrement plus corsée qui lui permet
d’entrevoir une carrière plus importante, mieux construite,
pour aborder des personnages plus passionnants, plus valorisants.
Rémi GARIN, retenons bien ce nom, va probablement réaliser une très bonne carrière, car il en a toutes les qualités. Il est un garçon d’une gentillesse exquise, bien élevé, probablement équilibré,
qui ne pourra que progresser
dans une profession, nous ne le répéterons jamais assez, qui n’est pas des plus faciles à gérer. Il lui suffirait de trouver enfin un agent sérieux et assez intuitif, qui
le prendrait sous son aile tutélaire, un agent assez malin et volontariste pour l’imposer très logiquement sur toutes les scènes les plus importantes de France. Mais nous faisons entièrement confiance en son intelligence, en sa probité, et à sa capacité de travail
pour qu’il soit à la hauteur de toutes ses ambitions. Il lui faut faire montre de courage et de ténacité
pour s’élever petit à petit vers les sommets auxquels il doit prétendre.
Rémi GARIN a de surcroît la chance d’avoir comme conjointe une superbe
jeune femme à la nature lénifiante, Fréderica, d’origine italienne.
Une fois encore le directeur de l’Opéra de REIMS, Serge GAYMARD,
semble bénéficier d’une période faste en faisant des choix aussi
heureux que dernièrement avec « DON GIOVANNI », et à présent ce
« FALSTAFF » venu de LIMOGES pour nous convaincre que
certaines scènes de province sont très actives à l’heure actuelle dans notre pays.
En réalité, ce sont elles qui participent à la survie de notre art lyrique. »
Michel GEORGES (Arioso international, 2008)
«
PORTRAIT : REMI GARIN
OU LA DECOUVERTE D’UN TENOR
Rencontrer un ténor comme Rémi GARIN est une chance inouïe pour un critique musical,
une chance qui ne se produit pas très souvent, car la découverte d’un véritable ténor est aussi rarissime
que de trouver une cantatrice possédant une très belle voix doublée d’une grande technique,
et qui soit en prime une femme pourvue d’une irrésistible séduction...
C’est une fois de plus grâce à Serge GAYMARD, l’actuel directeur de l’Opéra de REIMS,
que nous avons pu entendre Rémi GARIN dans le Fenton du « FALSTAFF » de Giuseppe VERDI.
Lui et la délicieuse Nanetta de Malinda HASLETT ont constitué dans cet ouvrage un couple presque idéal,
plein de charme, et dont les voix harmonieuses semblaient s’accorder à merveille.
Un ténor comme Rémi GARIN est un oiseau rare, et c’est pourquoi il convient de le conserver
le plus longtemps possible, de ne point le laisser s’envoler vers d’autres cieux...
Il est indispensable qu’il rencontre lui aussi bien vite un agent sérieux, capable de réaliser
la véritable mine d’or que constitue un artiste comme notre ami Rémi GARIN, et qu’il sache
l’imposer dans tous nos théâtres avec conviction.
Il serait impensable qu’il ne fit point la carrière que justifient ses dons vocaux, car une fois encore
j’affirme que ce chanteur possède absolument tout pour réussir, pour réaliser un destin
qui s’accomplira bien vite, et lui offrira toutes les joies qu’il est en droit d’en attendre...
Rémi fait ses études à l’École Nationale de Musique de la ville d’ANNECY (Haute-Savoie)
où il obtient une médaille d’or d’Art lyrique. Il entre ensuite à l’École d’Art Lyrique de
l’Opéra National de PARIS où il travaille de nombreux ouvrages du répertoire classique comme
Vincent de MIREILLE, Rodolphe de LA BOHEME de G. PUCCINI, le Chevalier de la Force de DIALOGUES
DES CARMELITES, etc...
Poursuivant sur sa lancée, il remporte plusieurs concours d’une importance certaine,
et est également le glorieux finaliste du fameux Concours International de Chant de la ville de TOULOUSE,
où il se fait particulièrement remarquer pour la beauté de sa voix, mais aussi pour son style impeccable
et l’éclat d’un timbre que l’on découvre avec étonnement.
Rémi GARIN, avec une rare constance, se forge en l’espace de quelques années un répertoire
qui paraît lui convenir à merveille comme Nemorino de L’ELISIR D’AMORE, Edgardo dans sa version originale
mais également Française de LUCIA DI LAMMERMOOR (une partition interprétée en Allemagne
avec un succès sans précédent), Jacquino du FIDELIO de BEETHOVEN,
ou bien encore le Tamino de LA FLUTE ENCHANTEE de MOZART.
Il chante aussi Des Grieux de la MANON de MASSENET, Gérald de LAKME,
Nadir des PECHEURS DE PERLES, Lenski d’EUGENE ONEGUINE, Elvino de LA SONNAMBULA de BELLINI,
Arvino, Oronte d’I LOMBARDI,
le duc de Mantoue de RIGOLETTO, Don Ramiro de LA CENERENTOLA, Dorvil de LA SCALA DI SETA de ROSSINI...
En tout, pas moins d’une vingtaine de rôles son déjà au répertoire de Rémi GARIN,
des rôles qu’il peut chanter sur n’importe quelle scène d’Europe.
C’est un ténor est intelligent, sérieux, toujours soucieux de respecter chaque style des ouvrages,
qu’ils fussent français, italiens ou mozartiens. Il détient en outre une grande Faculté d’adaptation,
sa voix ressemble à une flûte
d’argent, les aigus sont faciles, péremptoires, scintillent de lumière, son timbre est
extrêmement agréable, et son physique séduisant et romantique est idéal pour tout un
répertoire qu’il a sur faire sien avec un bon sens et une intuition qui forcent toute notre admiration. »
Michel GEORGES (Arioso international, 2008)
« Dans la reprise „Lucia di Lammermoor“ de Donizetti dimanche dernier à l’opéra de Nuremberg,
Anne Lünenburger dans le rôle de Lucia et Rémi Garin dans le rôle de son amant Edgardo ont laissé
la meilleure impression possible...
Le chanteur invité, Rémi Garin, en tant qu’amant non-désiré a su convaincre pleinement
avec sa voix de ténor aussi puissante que riche en nuances. »
(Lucia di Lammermoor, 2006)
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